Bonjour Christ, Il n'existe pas de "meilleur" isolant, il existe des isolants dont les caractéristiques techniques font qu'ils sont adaptés à telle ou telle application dans le bâtiment. En isolation de comble perdu, vous pouvez opter au choix pour une isolation d'origine végétale comme pour une isolation d'origine minérale à la condition que les prescriptions de pose du produit choisi soient respectées. Sachez toutefois qu'en rénovation, il faut tenir compte de la configuration du plafond pour viser la résistance thermique maximale à pouvoir être mise en oeuvre selon le produit choisi. En effet, selon les règles de l'art, s'il s'agit d'un plafond suspendu sous ossature métallique à base de fourrures simples dont l'entraxe est à 0.60 mètre avec une fixation tous les 1.20 mètres (type de plafond très souvent rencontré), la masse surfacique d'isolant est limitée à 6kg/m2 (prescriptions de mise en oeuvre édictées par le DTU 25.41 de décembre 2012 relatif aux ouvrages en plaques de plâtre). Par ailleurs, si vous souhaitez bénéficiez du CITE, crédit d'impôt transition énergétique, il vous faudra prévoir une résistance thermique R supérieure ou égale à 7m2.K/W et faire appel à une entreprise certifiée RGE (Reconnu Garant de l'Environnement). Veillez lors de la mise en oeuvre que la ventilation du comble perdu soit bien conservée : en aucun cas l'isolant posé ne doit obstruer les orifices de ventilation si ceux-si sont positionnés en rives basses de la couverture. Cordialement.